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A propos de La Route LR
(Vous pouvez voir mes vidéos webinaires en bas de la page)
Bienvenue
Bonjour à toutes et à tous !
J'ai l'ambition d'apporter un autre regard dans la campagne pour la présidence de LR, de vous proposer une autre route. Penser autrement pour agir autrement : l'ambition républicaine et le génie français.
Reprendre les mêmes chemins, les mêmes méthodes, les mêmes acteurs pour gagner à nouveau, ne me convainc pas. Et vous ?
Alors si, après m'avoir lu, Parlementaire, Adhérent, vous pensez que mon propos apporte une valeur ajoutée à notre avenir, que la route tracée nous offre une perspective pour enrichir notre débat, parrainez ma candidature.
C'est à vous que revient le choix de nourrir le débat. Votre baguette magique c'est le parrainage.
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L'AMBITION REPUBLICAINE
LE GENIE FRANÇAIS


PENSER AUTREMENT...
QUI SUIS-JE ?
Qui suis-je ?
Suis-je compétent pour diriger notre parti ?
Suis-je compétent pour nous mener à de nouvelles victoires ?
Quelle compétence faut-il pour faire 4,8% aux présidentielles (Pécresse-Jacob) ? Quelle compétence faut-il pour faire 8,5% aux européennes (Bellamy-Wauquiez) ?
Être de droite comme Bellamy ? Avoir de la notoriété comme Pécresse ? Avoir l'intelligence comme Wauquiez ?
Quelle est votre vérité ?
...POUR AGIR AUTREMENT
J'ai 54 ans
J'ai une caractéristique, une expérience qui m'apparaît indispensable pour comprendre la vie des Français d'aujourd'hui. Par deux fois j'ai connu le chômage, non pas le changement d'emploi, mais l'enfoncement dans des mois de galère, de perte de confiance et d'attente interminable.
J'aurais aimé que Pôle emploi me propose un emploi que je n'aurais pas eu le droit de refuser ; je n'ai pas eu cette chance…
Aujourd'hui, j'exerce le métier de consultant. Avec mes associés, j'interviens en management, sur la stratégie et sur l'évolution des métiers. Mes clients sont l'Etat, les collectivités locales (ces organisations dirigées par nos élus), les institutions et le secteur privé.
J'ai trois champs de préférences : le management des équipes par la QVT (qualité de vie au travail), le management par l'intelligence collective et la prospective stratégique.
Mon parcours
En 1981, je ressens l'élection de Mitterrand comme un choc. J'ai 13 ans et je m'ouvre au monde. Là je vois le chômage de masse décoller. Alors que je me dirige vers des études d'économie, je trouve cet échec politique injustifiable et très violent pour celles et ceux qui en sont victimes !
En 1985, à 17 ans (un an de plus que Ciotti, un de moins que Pradié), alors que personne dans ma famille n'avait d'engagement politique, je décide de rejoindre le RPR autant par attrait pour Chirac que pour l'intuition du gaullisme. Pour cette adhésion, je rencontre le maire du village d'à-côté : Jacques Kosciusko-Morizet, le grand-père de Nathalie. Il est ancien ambassadeur de France aux Etat-Unis et aura la charge d'être l'ambassadeur personnel de Chirac. Jusqu'à son départ pour les étoiles, 10 ans plus tard, il gardera un œil toujours bienveillant sur moi.
Ma circonscription est celle de Marc Lauriol, personnage exceptionnel, gaulliste, mais député d'Algérie. Relation complexe… Il était un des rares à penser le gaullisme.
En 1986, il quitte l'Assemblée nationale pour une campagne victorieuse au Sénat. Il emmène sur sa liste Gérard Larcher, 37 ans (pour 35 ans d'âge minimum légal requis) que j'ai dès lors l'occasion de découvrir.
De mon côté, j'entre en économie à l'Université de Nanterre où je vivrais la réforme Devaquet et la défaite de Chirac en 1988. Dominique Strauss-Kahn sera mon professeur tout comme Philippe Herzog, leader communiste, tête de liste aux élections européennes de 1989. Comprendre la pensée de gauche est indispensable pour dialoguer avec tous les Français, de droite comme de gauche, et pour pouvoir argumenter et s'y opposer.
Je rejoins le syndicat étudiant CELF qui réunissait des jeunes de l'UDF ; déjà, je voulais affirmer, pratiquer mon attachement à toutes les familles de la droite républicaine. Nous deviendrons le deuxième syndicat de Nanterre, exploit en terre de gauche, magnifique souvenir. Je faisais l'homme sandwich (vous savez avec deux pancartes autour du cou, une devant, une derrière) dans les couloirs de l'UFR de lettres, ce qui exaspérait les camarades socialistes et trotskistes.
En 1988, délégué des jeunes de ma circonscription, je suis rue de Lille, siège du RPR, avec dix autres jeunes pour accueillir Nicolas Sarkozy, nouveau Secrétaire National, accompagné de Brice Hortefeux. Je n'oublierai jamais cette rencontre dans une salle de réunion dans les sous-pentes, son discours de ce jour et son approche de la politique : la part centrale que joue le rapport de force, comment et pourquoi il n'avait pas pu mener à bien sa mission nationale en 1978, pourquoi et comment il allait cette fois-ci la réussir.
En 1989, le maire de sensibilité UDF de mon village m'intègre sur sa liste. A 20 ans, je suis un des plus jeunes élus de France.
Je deviens Responsable des jeunes RPR des Yvelines. Je développe mes premiers documents sur l'animation militante. Je deviendrai responsable de la formation puis au projet à la fédération départementale.
Je rédige une note sur la dynamique électorale des élections présidentielles qui me vaudra une lettre de vives félicitations de Philippe Séguin (je tâcherai de vous la retrouver dans mes archives).
J'anime une réflexion de rénovation de l'action militante, dont une des 22 actions proposait que les permanences du RPR deviennent le lieu de vie de rencontre, de dialogue et d'échange de toute la droite républicaine. Il sera transmis à la Présidente Michelle Alliot-Marie mais la naissance de l'UMP aura raison de ces propositions.
Pendant ce temps-là je me passionne pour l'économie. J'ai l'immense chance d'être l'élève de Michel Henoschberg qui propose une relecture radicale de l'économie moderne : association de la circulation (toujours occultée) et de la production (la fameuse usine qui seule ne peut triompher). Tellement d'actualité ! Lisez ses livres ou de "Zéro à Epsilon" !
Je découvre la théorie des coûts de transaction récompensée par les Nobel 1991 et 2009. Cette théorie répond à la question fondamentale "pourquoi l'entreprise existe-t-elle dans une économie de marché où, comme son nom l'indique, nous devrions tout acheter sur le marché et non auprès d'une entreprise, n'avoir que des artisans et aucun salarié en CDI". Ces Prix Nobel Américains répondent en fait à la question : pourquoi EDF ou la SNCF sont des monopoles souvent plus performants qu'un système concurrentiel dans une vraie politique de droite (sic !).
Je finis mes études en 1995, dans un troisième cycle co-animé par HEC et l'ESSEC (deux grandes écoles pour le prix d'une). Bernard Ramanantsoa, doyen de la recherche à HEC, auteur de Pouvoir et politique, est mon directeur de mémoire. Je travaille sur le leadership. Je serais son meilleur élève en séminaire de recherche sur le pouvoir. (Si vous avez une question, mon expertise est à vous).
En 1995, je quitte la banlieue St Germinoise (vous savez le SG de PSG) pour lui préférer Mantes et sa mentalité populaire, son côté sous-préfecture de province (j'adore), sa population multiculturelle, ses batailles électorales toujours difficiles (on n'est pas dans une terre de droite !), son brillant Président de Conseil Départemental, Pierre Bédier.
En 2003, je perds mon emploi, expérience violente. Je suis contraint de quitter l'engagement politique ; je démissionne à regret de la présidence du groupe municipale d'opposition dans une ville socialiste où j'aurais voulu m'implanter durablement. En 2001, j'avais été une des jeunes têtes de liste RPR/UDF à 33 ans. A cette époque la jeunesse en politique n'avait pas bonne presse.
Je décide de rejoindre le Club Nouveau Siècle, mouvement associé de l'UMP et donne davantage de mon temps à l'associatif.
J'entame ma carrière de consultant dans laquelle j'ai l'immense chance d'aller rencontrer et écouter les titulaires des métiers les plus divers : opérateur sur chaine alimentaire, ASH (agent de service hôtelier en EHPAD), cuisinier en clinique, affréteur en transport fluvial, grutier, métrologue pour façonnier du médicament… J'ai tellement d'expériences sur les Français au travail avec leurs fiertés, leurs réussites et leurs souffrances.
En résumé, 8 ans en secteur public, 9 ans comme salarié du privé, 10 ans comme TNS (travailleur non salarié), 6 ans en coopérative et 3 ans comme chômeur. Qui dit mieux ? Personne !
Voilà pour l'essentiel !
La spécificité du gaulliste se fonde sur cinq piliers :
— La Nation, sans nationalisme mais avec l’idée d’une exception française. L’exception française c’est le message universaliste que l’on doit être capable de délivrer au monde.
— Un humanisme dont la base est la liberté et l’individu. (L’humanisme socialiste a comme base l’assistanat et la collectivité).
— Les institutions de la Vème qui sont l'association entre l’autorité de l’Etat et la liberté du Parlement.
— L’idée de rassemblement par une synthèse conçue comme un dépassement et non comme un compromis.
— L’idée d’une société de participation.
Sur la base de ces cinq piliers, le gaullisme est un comportement : intransigeance sur les points essentiels
D'après Marc Lauriol. Notes de votre serviteur